Après avoir lu ton lien Sapiens, et avoir écouté en podcast ce philosophe, je t'avoue que je ne cautionne pas sa vision.
Elle conduit à ostraciser les personnes âgées et à faire croire qu'on ne se bat uniquement pour eux en délaissant les plus jeunes.
L'abandon de notre jeunesse, le chômage de masse de ces nouvelles générations, les perspectives misérables qu'on leur offre ne sont pas imputable à la politique du soit-disant "tout sanitaire" qui prévaut actuellement mais sont simplement les affres de notre société capitaliste te de son tournant néo-libéral des 20 dernières années.
Que penser de cette vision étriquée du problème défendu par ce philosophe si ce n'est qu'elle n'est pas altruiste pour un sou. Que penser de ce modèle qui tend à sacrifier nos aînés pour ne pas aggraver la situation des plus jeunes si ce n'est la négation du principe d'altérité qui doit sous-tendre n'importe quelle civilisation.
Certes je suis d'accord avec deux points : dans beaucoup de cas on demande aujourd'hui à la médecine de nous faire vivre au-delà des limites naturelles et la majorité de l'humanité est égoïste. Mais dans le premier cas, je maintiens que la crise du COVID 19 n'est pas assimilable à une grippe ou à d'autres crises sanitaires du passé dans la mesure où elle est imputable encore plus que les autres au non respect de la nature par l'homme, que le développement de ses formes graves n'est pas maîtrisé et qu'elle touche également des jeunes de 30 à 65 ans.
Dans le second cas, si on part du constat que le bilan de l'humanité pour l'instant fait la part belle aux égoïstes, il est temps d'amorcer l'inversion de cette tendance en assumant et en aspirant à une vison solidaire du monde.
Après avoir lu ton lien Sapiens, et avoir écouté en podcast ce philosophe, je t'avoue que je ne cautionne pas sa vision.
Elle conduit à ostraciser les personnes âgées et à faire croire qu'on ne se bat uniquement pour eux en délaissant les plus jeunes.
L'abandon de notre jeunesse, le chômage de masse de ces nouvelles générations, les perspectives misérables qu'on leur offre ne sont pas imputable à la politique du soit-disant "tout sanitaire" qui prévaut actuellement mais sont simplement les affres de notre société capitaliste te de son tournant néo-libéral des 20 dernières années.
Que penser de cette vision étriquée du problème défendu par ce philosophe si ce n'est qu'elle n'est pas altruiste pour un sou. Que penser de ce modèle qui tend à sacrifier nos aînés pour ne pas aggraver la situation des plus jeunes si ce n'est la négation du principe d'altérité qui doit sous-tendre n'importe quelle civilisation.
Certes je suis d'accord avec deux points : dans beaucoup de cas on demande aujourd'hui à la médecine de nous faire vivre au-delà des limites naturelles et la majorité de l'humanité est égoïste. Mais dans le premier cas, je maintiens que la crise du COVID 19 n'est pas assimilable à une grippe ou à d'autres crises sanitaires du passé dans la mesure où elle est imputable encore plus que les autres au non respect de la nature par l'homme, que le développement de ses formes graves n'est pas maîtrisé et qu'elle touche également des jeunes de 30 à 65 ans.
Dans le second cas, si on part du constat que le bilan de l'humanité pour l'instant fait la part belle aux égoïstes, il est temps d'amorcer l'inversion de cette tendance en assumant et en aspirant à une vison solidaire du monde.